24 avril 2017 – Héraldie, seconde fondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Poésie)

Mon enfant nu

image de Pierrette

Quand tu t’enfuis sur un éclat de lune
Quand tu jongles avec les morceaux de ciel
Quand tu t’enivres d’effroi et d’extase
Je t’aime de ton cri silencieux
La poussière qui danse au soleil
Est ton scintillement d’étoiles
De ton regard affolé et muet
Je t’aime pour ce que tu es

Quand tu voyages dans l’immensité
Quand tu t’échappes pour rejoindre au ciel
L’enfant nu dont l’ange a omis
De clore à jamais la mémoire
Sur les mystères d’ailleurs
De poser son doigt sur sa lèvre
Mon enfant d’un monde perdu
Je t’aime dans les plis du vent

Mon enfant de sable et de sel
Sur ta peau brûlante
Assoiffée de tendresse
Goutte l’eau d’une caresse

Je t’aime mon enfant miroir
Mon enfant de soleil noir

Mon enfant de souffrance
Mon enfant des errances

Mon enfant des orages
Mon enfant courage

Je t’aime

Luciole

Le marronnier

image de l’auteur

C’est un arbre de forme élégante, d’allure
Majestueuse, portant sur un tronc droit une
Large tête pyramidale d’un vert pur
Et foncé qui ne laisse jamais croître aucune

Espèce sous son ombre. Ses feuilles sont très
Grandes, composées de cinq à sept folioles
Ovales, oblongues, inégales, dentées. Un très
Bel effet se produit en mai par les corolles

De ses fleurs blanches, souvent panachées de rose
Et en bouquets dressés. Le marronnier a pris
Possession des places et grands jardins mais aussi

Des promenades publiques, des cours d’écoles,
Sans autre recommandation que sa belle
Forme et sa verdure agréable et un peu folle.

Pierrette

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D’azur au marronnier au naturel sur une terrasse de sinople

Bélier d’Abraham

image de l’auteur

Dans un océan de clarté
S’aventure un bélier folâtre ;
L’animal n’est pas idolâtre,
Un archange l’a recruté.

Roi cornu, tu es invité
À déserter brebis et pâtre
Pour aller, marcheur opiniâtre,
Sur un autel te présenter.

Vois l’enfant dont le coeur palpite,
Il doit mourir, selon les rites :
Mais tu peux être son sauveur.

Offre donc ta gorge au vieil homme :
Le feu qui détruisit Sodome
Va récompenser ta ferveur.

Cochonfucius

En réponse à « Arthropodophage »

retierce.aigle.png

image de l’auteur

L’hippogriffe marche de long
En large, il guette l’horizon.
Au vol des hannetons, il pense.
Ils étaient si beaux et si bons!

Pierrette

Arthropodophage

retierce

image de l’auteur

Cet hippogriffe, nous dit-on,
Se nourrissait de hannetons,
Quand ils volaient en abondance ;
Il mange à présent du plancton.

Cochonfucius

Ânes-Thons

âne thon.png

image de Pierrette

Souvenir d’enfance :
Hannetons qui par milliers
Venaient au printemps.

Cochonfucius

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image de Pierrette

Quand tu t’enfuis sur un éclat de lune Quand tu jongles avec les morceaux de ciel Quand tu t’enivres d’effroi et d’extase Je t’aime de ton cri silencieux La poussière qui danse au soleil Est ton scintillement d’étoiles De ton regard affolé et muet Je t’aime pour ce que tu es

Quand tu voyages dans l’immensité Quand tu t’échappes pour rejoindre au ciel L’enfant nu dont l’ange a omis De clore à jamais la mémoire Sur les mystères d’ailleurs De poser son doigt sur sa lèvre Mon enfant d’un monde perdu Je t’aime dans les plis du vent

Mon enfant de sable et de sel Sur ta peau brûlante Assoiffée de tendresse Goutte l’eau d’une caresse

Je t’aime mon enfant miroir Mon enfant de soleil noir

Mon enfant de souffrance Mon enfant des errances

Mon enfant des orages Mon enfant courage

Je t’aime

image de l’auteur

C’est un arbre de forme élégante, d’allure Majestueuse, portant sur un tronc droit une Large tête pyramidale d’un vert pur Et foncé qui ne laisse jamais croître aucune

Espèce sous son ombre. Ses feuilles sont très Grandes, composées de cinq à sept folioles Ovales, oblongues, inégales, dentées. Un très Bel effet se produit en mai par les corolles

De ses fleurs blanches, souvent panachées de rose Et en bouquets dressés. Le marronnier a pris Possession des places et grands jardins mais aussi

Des promenades publiques, des cours d’écoles, Sans autre recommandation que sa belle Forme et sa verdure agréable et un peu folle.

Quand tu t’enfuis sur un éclat de lune
Quand tu jongles avec les morceaux de ciel
Quand tu t’enivres d’effroi et d’extase
Je t’aime de ton cri silencieux
La poussière qui danse au soleil
Est ton scintillement d’étoiles
De ton regard affolé et muet
Je t’aime pour ce que tu es

Quand tu voyages dans l’immensité
Quand tu t’échappes pour rejoindre au ciel
L’enfant nu dont l’ange a omis
De clore à jamais la mémoire
Sur les mystères d’ailleurs
De poser son doigt sur sa lèvre
Mon enfant d’un monde perdu
Je t’aime dans les plis du vent

Mon enfant de sable et de sel
Sur ta peau brûlante
Assoiffée de tendresse
Goutte l’eau d’une caresse

Je t’aime mon enfant miroir
Mon enfant de soleil noir

Mon enfant de souffrance
Mon enfant des errances

Mon enfant des orages
Mon enfant courage

C’est un arbre de forme élégante, d’allure
Majestueuse, portant sur un tronc droit une
Large tête pyramidale d’un vert pur
Et foncé qui ne laisse jamais croître aucune

Espèce sous son ombre. Ses feuilles sont très
Grandes, composées de cinq à sept folioles
Ovales, oblongues, inégales, dentées. Un très
Bel effet se produit en mai par les corolles

De ses fleurs blanches, souvent panachées de rose
Et en bouquets dressés. Le marronnier a pris
Possession des places et grands jardins mais aussi

Des promenades publiques, des cours d’écoles,
Sans autre recommandation que sa belle
Forme et sa verdure agréable et un peu folle.