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Il se sent rassuré par sa bedaine ronde,
Il n’aura plus l’idée de maigrir, désormais,
Ce brave porc d’azur sourit plus que jamais
Qui sur bons aliments sa corpulence fonde.
Pas de plus beau bestiau sur la terre ou dans l’onde,
Sa présence, toujours, fait son petit effet,
Ce vieux cochon en a, dit-on, dans le buffet,
C’est un noble animal, c’est un homme du monde.
Gentil porc, quels seront tes plaisirs de vieillard?
Vas-tu vivre ta vie comme un rude gaillard,
Un pourceau d’Epicure, un héros qu’on imite ?
Des mythes d’autrefois je ne suis abusé ;
Te dire mes plaisirs, c’est un peu malaisé,
Je n’en prends guère plus que n’en trouve un ermite.

Où va-t-on? personne ne le sait, ce que l’on sait: c’est ce que l’on est. Bon soir et bonne nuit bel homme du monde.
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Moi je sais où vous allez, me susurre le Troll, nulle part! Vous êtes au-dessus et vous finissez juste en-dessous!
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Dites bien au Troll que je vais quelque part et… lui aussi d’ailleurs.
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Ce midi, au menu, côte d’azur.
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Non, c’est impossible!
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Et pourquoi donc je vous prie, vous n’avez jamais mangé de côte de porc?
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Si bien sûr, mais ce porc d’azur, comment vous expliquer… ce n’est pas un porc ordinaire… comment vous dire… nous sommes en Héraldie voyez-vous… alors il y a un bestiaire imaginaire qui est symbolique. Prenons un exemple simple : suis-je vraiment un Fringant Papillon ou est-il un symbole de ma parole et de tout ce qui est lié à ma parole en relation avec d’autres paroles venant d’autres personnes symbolisées ici par l’héraldique et ses codes?
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