
(*)
Par un beau matin d’été un ambicornu
Dans un étang campagnard se baignait tout nu
Yeux levés vers le ciel un air il fredonnait
Que sont mes amis des temps anciens devenus
Je sais cela peut vous paraître saugrenu
De la part d’une créature biscornue
Dont le plaisir était de brouter les genêts
Et qui à tout jamais restera méconnue
JR
(*) http://le-blog-de-mcbalson-palys.over-blog.com/2016/09/evans-jura-les-etangs-8.html
Balades comtoises, belles images.
