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De leur Maître bien-aimé,
Du héros de leur jeunesse,
Les deux apôtres aînés
N’attendent point qu’il renaisse.
Ils ne sont plus affamés
De sa divine tendresse ;
Car ils se sont résignés
À ce bonheur qu’il leur laisse.
Ils n’en sont pas mécontents,
Ils se donnent du bon temps,
La bouteille sur la table.
Leur maison n’est pas aux cieux,
Mais dans un modeste lieu,
Leur royaume véritable.







