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Ô coing béni des cieux, favori de Narcisse,
La décomposition ne saurait te toucher :
Au rameau verdoyant, tu te tiens attaché,
Tu as mûri longtemps sur un arbre propice,
Sur toi fut un brouillard bienfaisant épanché,
Et tu l’as mérité, ce n’était que justice.
Les insectes gloutons t’épargnent leurs supplices ;
Tu es plus délicat que le fruit du pêcher.
Ô qui pourra goûter ta saveur nonpareille,
Qui te possédera, fabuleuse merveille ?
Celui qui te détient, que son pouvoir est fort !
De ta maturation, que mon âme a suivie,
Je sais que de longtemps n’en adviendra la mort :
Un coing de bon aloi doit faire une eau-de-vie.

C’est un joli blason agrémenté d’un délicieux sonnet pour terminer ce mois d’août et commencer celui de septembre avec Cochonfucius.
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Tous les canards du sud-ouest, à l’accent fort prononcé, se joignent à moi pour féliciter Cochonfucius:
Coing coing coing coing coing coing
Coing coing coing coing coing coing
Coing coing coing coing coing coing
Coing coing coing coing coing coing
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Une eau-de-vie c’est mieux que la gelée.
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Tout à fait d’accord avec vous Luciole, néanmoins pour qu’elle reste eau-de-vie, il est recommandé d’en boire très peu et que dans des circonstances précises.
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Certainement, gardons la gelée pour les tartines matinales,
l’eau-de-vie pour les célébrations.
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