
Image du blog Herald Dick Magazine
Filles libres, au bois, de venir et d’aller,
Un sourire arborant, venu du fond de l’être !
Dames de la forêt, combattantes sans maître,
On leur attribuerait des faits inégalés.
Vêtues légèrement, l’hiver comme l’été,
Elles sont l’ornement du jardin que j’admire ;
Je me sens enivré par l’air qu’elles respirent,
Leur regard amusé, je ne peux l’éviter.
Elles vivent au bois, je ne sais pas comment,
Juste avant de dormir, j’évoque leur image,
Elles n’ont pas besoin de donner davantage ;
D’un mot qu’elles ont dit, je me fais un roman.
