
Toile de Gustave Courbet
Ainsi, Valentin
Fait peur à Verlaine !
Il tremble au matin,
Ce berger des plaines,
Devant Valentin.
Il perd son latin,
Il est à la peine,
Son coeur est butin,
Son coeur est aubaine,
Il perd son latin.
Quel triste destin,
Ce coeur qu’on enchaîne !
Le coeur enfantin
Du pauvre Verlaine,
Quel triste destin.
