Noisette – Noisetier – (Coudrier)

https://fr.pngtree.com/freepng/hazelnut-fruit_197362.html
Que nous dit Wikipédia ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Noisette
https://fr.wikipedia.org/wiki/Noisetier
La noisette, parfois appelée « aveline », est le fruit du noisetier commun (Corylus avellana), ainsi que de diverses espèces voisines du genre Corylus. Par métonymie, le terme désigne aussi la graine (ou amande) contenue dans ce fruit et qui est comestible.
Corylus (le Noisetier aussi appelé Coudrier), est un genre d’arbres et d’arbustes de la famille des Bétulacées (sous-famille des Coryloïdées) des régions tempérées de l’hémisphère nord. Son fruit s’appelle la noisette. Les noisettes sont particulièrement appréciées de nombreux rongeurs (dont l’écureuil qui les stocke pour l’hiver) et de certains ours. Le noisetier est un arbuste forestier (la noisette pouvant alors être considérée comme un produit forestier non ligneux), mais il est cultivé hors des forêts.
Le noisetier intéresse aussi beaucoup les trufficulteurs car il peut vivre en symbiose avec la truffe (Tuber uncinatum notamment, autre aliment très apprécié des écureuils et des sangliers) et il enrichit les truffières.





Abère (64 Pyrénées-Atlantiques)

1 : http://blasonsdefrance.free.fr/A/ABERE.png
Auteur : « malpatey ».
Blason non officiel.
Explicatif : Etymologie latine abellana ou abella, dérivée en abera en béarnais qui signifie « noisette ».
Blasonnement : De gueules à trois noisettes d’or.
Histoire (https://fr.wikipedia.org/wiki/Abère) :
Paul Raymond note qu’en 1385, Abère comptait huit feux et dépendait du bailliage de Pau. La baronnie créée en 1672 était vassale de la vicomté de Béarn. La commune faisait partie de l’archidiaconé de Vic-Bilh, qui dépendait de l’évêché de Lescar et dont Lembeye était le chef-lieu. Son abbaye laïque, l’ostau de Bosom d’Abadie, est citée en 1385.
Pas de site communal.





Arrast-Larrebieu (64 Pyrénées-Atlantiques)

2 : http://blasonsdefrance.free.fr/A/ARRAST-LARREBIEU.png
Auteur : « malpatey ».
Blason non officiel.
Explicatif : Fusion de deux communes de la Soule (parti or et de gueules). Il y avait deux maisons abbatiales (crosse) à Arrast: la maison Aguerria (famille d’Aguerre) et la maison Abbadia (famille d’Abbadie). La forme basque d’Arrast est parfois donnée avec le déterminant Ürrüxtoia qui signifie « la coudraie » autre nom du noisetier quant au toponyme Larrebieu apparaît sous la forme Larrebiu désigne une « lande arrondie, ramassée » (sinople).
Blasonnement : Parti mi-coupé à senestre ; au premier de gueules à une noisette d’or au deuxième d’or et au troisième de sinople ; à une crosse (abbatiale) d’or brochant sur la partition.
Histoire (https://fr.wikipedia.org/wiki/Arrast-Larrebieu) :
Paul Raymond note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Soule. Il y avait, pour être plus précis, deux maisons abbatiales à Arrast : la maison Aguerria (famille d’Aguerre) et la maison Abbadia (famille d’Abbadie).
La commune a été créée le 16 octobre 1842 par la réunion des communes d’ Arrast et de Larrebieu.
Pas de site communal.





Ban-de-Laveline (88 Vosges)

3a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=280
Auteur : © Daniel Juric, 1er décembre 2011.
D’or à la barre d’azur chargée d’un poison d’argent accompagnée en chef de la lettre capitale L de sable et en pointe d’une branche de noisetier au naturel.

3b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ban-de-Laveline
Auteur : Tretinville , 24 juillet 2013.
D’azur, à la barre d’or chargée d’un poisson d’argent accosté de deux chaises de sable, accompagnée en chef d’une lettre L majuscule de sable et en pointe d’une branche de noisetier au naturel, feuillée de sinople, à la coquerelle de gueules mise en barre.
Commentaires : La barre et le poisson symbolisent la richesse en eau du lieu. Le L majuscule et la coquerelle ou branche de noisetier évoquent le nom de la localité, une aveline étant une noisette. Les chaises ou bancs sont un jeu de mot avec le ban de Laveline.
Ces armes sont fautives car elles ne respectent pas la règle de contrariété des couleurs.
Intéressante partie historique bien étoffée.
3c : http://www.genealogie-bisval.net/Images/Vosges/Ban-de-Laveline.gif
Auteur : © Arnaud Bisval.
J’ai déjà dit tout le bien que je pense de ce site à qui j’ai décerné une pépite d’or.
Commentaires : Plusieurs rivières coulent sur le territoire de la commune, d’où la barre d’azur et le poisson symbolisant la richesse des eaux. Le premier nom de la commune « Aquilina » en est le témoin.
Les chaises ou bancs sont un jeu de mot avec le Ban de Laveline.
Le L est l’initiale de la commune de Laveline « chef-lieu » du Ban.
La noisette, appelée parfois « aveline », est le fruit du noisetier (Corylus avellana), d’où la branche de noisetier dans les armes.

3d :http://www.genealogie-lorraine.fr/blasons/index.php?dept=88&blason=BAN_DE_LAVELINE
Auteur : © Commission Héraldique de l’UCGL.
Site de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains.
Commentaires : La barre et le poisson symbolisent la richesse en eau du lieu. Le L majuscule et la coquerelle ou branche de noisetier évoquent le nom de la localité. (Laveline signifiant le noisetier).



3e : http://www.mairie-bandelaveline.fr/
Site communal.
J’ai vainement cherché un format plus grand. C’est désolant.
Excellent développement de la partie « Vie locale » « Patrimoine historique et culturel ». Manque juste un beau blason !





Beaucoudray (50 Manche)

4 : http://blasonsdefrance.free.fr/B/BEAUCOUDRAY.png
Auteur : « malpatey ».
Blason non officiel.
Explicatif : Le toponyme a pour origine deux termes d’ancien français bel/beau et coldroi/couldray qui désignait un ensemble de noisetiers. Village sous le vocable de Saint-Laurent.
Blasonnement : Parti ; au premier de gueules à un grill d’or, au second d’or à une branche de noisetier au naturel.
Histoire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Beaucoudray
En septembre 1949, Beaucoudray est citée à l’ordre de la Nation : « Village ravagé aux six dixièmes pendant la bataille de libération et dont la population a accepté ce sacrifice avec courage et abnégation ». Elle reçoit la Croix de guerre avec étoile de bronze par décret du 11 novembre 1948.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maquis_de_Villebaudon-Beaucoudray
Le maquis de Villebaudon-Beaucoudray est un maquis de la résistance intérieure française, actif de septembre 1941 à juillet 1944 en Normandie.
Fondé en septembre 1941 sous l’impulsion d’Henri Le Veille, une partie de ses membres fut fusillée le 15 juin 1944 par les Allemands.
Pas de site communal.





Berlencourt-le-Cauroy (62 Pas-de-Calais)

5a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=5614
Auteur : © Daniel Juric, 9 août 2017.
Taillé: au 1er d’or à la truite d’azur posée en pal, au 2e fascé d’or et d’azur à la branche de noisetier de sinople fruitée de deux pièces d’or; à la barre de sable brochant sur la partition.

5b : Heraldry of the world
© Since 1996, Heraldry of the World, Ralf Hartemink.
Petite révision de votre anglais scolaire :
The black bend in the arms show the Canche river that runs through the village and which is a well known river for fishing. This is symbolised by the trout in the upper half of the arms. The three blue bars are derived from the arms of the Barons of Beauffort, who acquired the village in 1671. The hazel branch is a canting symbol. The name Cauroy is derived from the Latin colretus, or area planted with hazel trees.
Facile, non ?
Section « Histoire » vide dans Wikipédia, et pas de blason..
Pas de site communal.





Blaignan (33 Gironde)

6 : http://blasonsdefrance.free.fr/B/BLAIGNAN.png
Auteur : « malpatey ».
Blason non officiel.
Explicatif : Terre essentiellement viticole. il existe un moulin à vent en parfait état. Fabrication et vente des Noisettines du Médoc, une spécialité artisanale à base de noisettes. Eglise dédiée à Saint-Pierre.
Blasonnement : Parti ; au premier d’argent à un moulin à vent d’azur surmonté de deux noisettes du même, au second d’azur à une clé d’argent pose en pal ; au chef bastillé de gueules chargé de trois grappes de raisin d’or.
Section « Histoire » vide dans Wikipédia.
Site communal : http://www.site-officiel-mairie-de-blaignan.com/
Intéressante partie « Tourisme » : Moulin de Blaignan, Noisettines du Médoc, Butte de Blaignan.





Coudray (53 Mayenne)

7 : http://blasonsdefrance.free.fr/C/COUDRAY.png
Auteur : « malpatey ».
Blason non officiel.
Explicatif : Origine du nom : De l’ancien français, coudre, coudrier. Une coudraie désigne un bois ou un bosquet planté de noisetiers. Sur la commune figure trois châteaux. Église dédiée à Saint-Julien le martyr (glaive). Au XVIIIè siècle mentionne que la vigne recouvrait encore 1/10 de la superficie de la paroisse.
Blasonnement : D’argent à une bande bretessée et contre-bretessée d’azur chargée d’un glaive d’argent garnie d’or, accompagnée au chef d’une branche de noisetier au naturel, feuillée de sinople et fruité d’or et en pointe de deux grappes de raisin de gueules.
Histoire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Coudray_(Mayenne)
La commune faisait partie de la sénéchaussée angevine de Château-Gontier dépendante de la sénéchaussée principale d’Angers jusqu’à la Révolution française.
En 1790, lors de la création des départements français, une partie de Haut-Anjou a formé le sud du département de la Mayenne, appelé aujourd’hui Mayenne angevine.
Site communal : http://www.coudray53.fr/
La partie « Patrimoine » « Histoire » est particulièrement étoffée, on y parle notamment des coudriers.





Lavelanet (09 Ariège)

8a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=2742
Auteur : © Daniel Juric, 4 avril 2011.
D’argent à la branche de noisetier feuillée de sinople fruitée au naturel ; au chef parti au 1er d’azur au croissant d’argent accosté de deux étoiles du même, au 2e de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d’or.

8b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lavelanet
Auteur : TomKr , 14 août 2009.
Section « Histoire » très développée, de la Préhistoire à l’Époque contemporaine.
Héraldique : « Avelano » : noisetier Nom de « Beleu » (dieu phénicien) que les Romains ont transformé en « Avelana », en référence aux noisetiers NB : Sceau gothique (usage à la mairie) : portait un noisetier au milieu d’un ovale surmonté d’une petite croix.

8c : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Blason_Lavelanet.jpg
Auteur : Poudrededen , 14 juillet 2016.
On retrouve la branche de noisetier surmontée de la croix boulée des Comptes de Toulouse à droite, à gauche d’un croissant de lune entouré de deux étoiles (hypothèse par laquelle le seigneur de Lavelanet aurait participé aux croisades). L’écusson était coiffé d’un soleil resplendissant qui fut remplacé par quatre tours lors du mariage de la dernière fille du seigneur de Lavelanet avec le Comte de Fumel (juin 1653). Fumel était une ville fortifiée, d’où les tours. Aujourd’hui, la ville a conservé ce blason.

8d : http://www.labanquedublason2.com/
Auteur : © Jean-Paul de Gassowski (†).
Le site n’est malheureusement plus accessible.
8e : http ://www.mairie-lavelanet.fr/
Site communal.
À consulter :
http ://www.mairie-lavelanet.fr/fr/information/64361/lavelanet-histoire
http ://www.mairie-lavelanet.fr/fr/information/64469/les-armoiries-ville-lavelanet
Ces deux sections sont parfaitement développées et très intéressantes.

8f : kroma-serigraphie.fr
No comment.
8g : http://www.histariege.com/lavelanet.htm
Réalisation: Y.A. Cros du Cercle Généalogique de Languedoc
Excellente étude de JJ Pétris sur Lavelanet.
Variante: D’argent au noisetier de sinople surmonté d’une croisette d’or (de gueules).





Laveline-du-Houx (88 Vosges)

9a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=12346
Auteur : © Daniel Juric, 6 juillet 2014.
D’argent au filet en barre de sable accompagné en chef d’une coquerelle feuillée de sinople et fruitée d’or, et en pointe d’une branche de houx de sinople fruitée de gueules.


9b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Laveline-du-Houx
Auteur : Tretinville , 24 juillet 2013.
À droite : premier dessin, même date.
Histoire :
Jehan du Houx, chevalier, obtient le 25 novembre 1341 du duc de Lorraine Raoul, des lettres patentes confirmant l’acquisition des biens situés aux lieux du Houx et de Laveline faite par lui sur l’abbaye de Chaumousey,
Le toponyme de Laveline-du-Houx (Laveline de Hout) est attesté au moins en 1434.
Laveline-du-Houx faisait partie du ban de Tendon et dépendait de la paroisse de Saint-Jean-du-Marché.
De 1790 à l’an IX, Laveline-du-Houx a fait partie du canton de Docelles.
9c : http://www.genealogie-bisval.net/Images/Vosges/Laveline-du-Houx.gif
Auteur : © Arnaud Bisval.
Commentaires :
Ce sont des armes parlantes.
La coquerelle représente le noisetier, ici l’avelinier pour l’aveline.
Le houx pour le hameau du Houx.

9d : http://www.genealogie-lorraine.fr/blasons/index.php?dept=88&blason=LAVELINE_DU_HOUX
Auteur : © Commission Héraldique de l’UCGL.
Site de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains.
Pas de site communal.





Le Coudray-Montceaux (91 Essonne)

10a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=8498
Auteur : © Daniel Juric, 27 septembre 2012.
D’azur au mont de trois coupeaux d’argent sommé d’un noisetier du même, accompagné en chef de trois glands appointés et rayonnants, feuillés de trois pièces et à senestre d’un fer à cheval, le tout d’or et surmonté d’une divise ondée d’argent.

10b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Coudray-Montceaux
Auteur : Spedona , 29 janvier 2008.
Section « Histoire » vide.
Toponymie : Colridum, Colritum au IXe siècle, Coldreyum au XIIIe siècle, Codroi au XIIIe siècle, Codret en 1271, Codroyum en 1272, Coudreyum in Bria au XIVe siècle, Couldrai-sur-Seine-lez-Corbeil en 1475, Monciaus.
L’origine du nom de la commune est peu connue. En 1793 furent créées les communes du Coudray et Montceaux, en 1839 elles furent réunies.

10c : Geneanet
Commentaire : d’après le livre de Bernard Malechère, écrit a l’occasion du 150eme anniversaire de la fusion de Coudray et de Montceaux (1839-1989).
Description blasonnement : Une Serpentine d’argent (La Seine). Un fer à cheval en or (la route du Plessis Chenet). Les glands et les feuilles de chêne (La Chesnaie). Le bouquet de noisetiers (les noisetiers ou coudriers d’où Coudray). Les monticules du bas (les monticules d’ou Montceaux).


10d : http://www.coudray-montceaux.fr/fr/information/74497/un-blason-histoire
Site communal.
À droite : Club d’aviron du Coudray.
L’écu est timbré de la couronne murale à trois tours d’or, ouverte et maçonnée de sable. La couronne murale à trois tours est l’emblème que portaient les déesses grecques, protectrices des cités.

10e : http://www.lessonnien.fr/le-gateau-de-bonbons/
Auteur : Chantal Veber.
Surprenante et belle réalisation.





Les Avenières (38 Isère)

11 : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=12898
Auteur : © Daniel Juric, 18 novembre 2014.
D’or au dauphin d’azur, barbé, crêté, lorré, oreillé et peautré de gueules, chapé de sinople chargé à dextre d’une branche de noisetier fleurie d’or, à senestre d’un pampre de vigne fruité du même; à la champagne d’azur chargée de crêtes de vague d’argent.
Que nous dit https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Avenières ?
Les Avenières sont une ancienne commune française située dans le département de l’Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes, devenue, le 1er janvier 2016, une commune déléguée de la commune nouvelle des Avenières-Veyrins-Thuellin.
La section « Histoire » va de la préhistoire au XXè siècle.
Site communal de la nouvelle commune des Avenières-Veyrins-Thuellin : http://www.lesavenieres.fr/
Rien de bien passionnant et surtout pas de blason.





Oberhaslach (67 Bas-Rhin)

12a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=15746
Auteur : © Daniel Juric, 15 juin 2016.
Parti: au 1er d’argent à la branche de noisetier de sinople posée en pal, au 2e de gueules à la houlette d’argent posée en pal, le fer en haut.

12b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Oberhaslach
Auteur : Adalric67 , 21 mars 2014.
Histoire :
L’actuelle commune d’Oberhaslach fut un lieu habité par des peuplades celtes dès l’Antiquité. Située au croisement de deux routes importantes, les Romains en ont fait un lieu de garnison qui s’est peu à peu transformé en village de taille modeste (en attestent des stèles exposées au Musée archéologique de Strasbourg).
Au VIIè siècle, Florent, un ermite venu d’Irlande, convertit les environs au christianisme et s’installa à l’endroit où se trouve actuellement la chapelle Saint-Florent. Florent devint par la suite évêque sous le nom de Florent de Strasbourg.
Au Moyen Âge, le lieu fut peuplé par des familles germaniques et alémaniques venues d’Allemagne et de Suisse, donnant son nom aux villages d’Oberhaslach et de Niederhaslach (haslach = « trou des noisettes » en langue alémanique ancienne).
Le village fut décimé par la guerre de Trente Ans et le repeuplement se fit principalement par des familles venues de Suisse.

12c : http://regionalsace.voila.net/blasons/index.html
Ce site n’existe plus.

12d : Heraldry of the world
© Since 1996, Heraldry of the World, Ralf Hartemink.
Continuons à cultiver notre anglais :
The right half of the arms shows a hazel branch. This is a canting symbol (Hasel in German, Haslach means stream between the hazel trees). The black stick was a type of stick used by the local shepherds. In the 19th century Oberhaslach was a village which was dependent on animal husbandry and thus there were a lot of shepherds in the village.

12e : Skyrock.com
La houlette des bergers :
Bâton des bergers, terminé par une sorte de cuillère en fer, pour lancer de la terre aux animaux qui s’écartent. Cette houlette figure sur l’emblème car jusqu’aux environs de 1860, OBERHASLACH était un village de bergers, d’oies, de canards, de cochons, de moutons et de vaches.
Le site communal http://www.commune-oberhaslach.fr/index.htm :
Il reprend le blason de Wikipédia.
Excellente partie historique http://www.commune-oberhaslach.fr/decouvrir/historique.htm





Saint-Germain-de-la-Coudre (61 Orne)

13a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=9233
Auteur : © Daniel Juric, 23 décembre 2012.
D’argent à la jumelle ondée en bande d’azur, accompagnée, en chef, d’une mitre de gueules chargée d’une croisette d’argent et, en pointe, de trois coquerelles versées au naturel ordonnées en orle; sur le tout, d’or au portail du château du lieu de sable, ouvert du champ et mouvant de la pointe.

13b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Germain-de-la-Coudre
Auteur : Ssire , 7 décembre 2012.
Histoire :
À la création des cantons, Saint-Germain-de-la-Coudre est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l’an IX (1801).
En 2012, Raymond Bru (1919-2012), né dans le village, a légué ses biens à la commune, estimés à 2,6 millions d’euros, ce qui représente l’équivalent de trois années du budget communal.
Commentaires : Blason adopté par le conseil municipal le 11 octobre 2011.

13c : https://www.stgermaindelacoudre.org/
Site communal.
Blason extirpé d’un bulletin municipal.
Auteur : Serge Sire, 2015.
Blason redessiné à la demande de la mairie.
Commentaires : La jumelle ondée représente les deux cours d’eaux: la Coudre et la Même, la mitre évoque saint Germain et saint Blaise (par la croix), les coquerelles rappellent le nom du village (coudrier=noisetier) et le portail symbolise les portes de l’ancien château.

13d : www.portrait-from-photo.org
Site d’habitants de Saint-germain-de-la-Coudre.
Très contestataire.
No comment de ma part.





Saint-Gratien (80 Somme)

14a : http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=6011
Auteur : © Daniel Juric, 14 mars 2012.
Écartelé: au 1er d’argent, au buste de saint Gratien de carnation, d’azur, paré de gueules, chevelé et barbé de sable, auréolé d’or, au 2e d’argent à trois lions de sable, au 3e d’azur à trois fleurs de lis d’or, au 4e d’or à trois noisettes d’argent, renversées posées en barre, involucrées et tigées de sinople; à la fasce de gueules chargée de l’inscription « Saint Gratien » en lettres onciales de sable brochant sur la partition.

14b : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Gratien_(Somme)
Auteur : Chatsam , 2 janvier 2017.
Toponymie :
Le nom de du village situé à 12 kilomètres d’Amiens viendrait de ce que Gratien d’Amiens, y aurait été martyrisé par les Romains en 303.
La légende raconte qu’on planta la houlette en coudrier de Gratien, le berger, sur sa tombe. En une nuit, elle prit racine, donna des feuilles et des fruits de la couleur du sang. D’après la tradition, ce miracle se reproduisait chaque nuit du 23 octobre.
Une autre version indique que Gratien ficha lui-même en terre son bâton qui fit jaillir une source, donna du feuillage et des noisettes. Il se fit une écorchure à la main, se servit d’une feuille comme pansement et ainsi teinta de rouge l’arbuste.
Petit historique de la bataille de la Somme en 1918 à Saint-Gratien (troupes autraliennes).
Pas de site communal.





BLASONS FAMILIAUX

15 : http://www.francegenweb.org/heraldique/base/details.php?image_id=2864
Famille AVELINE, originaire du Perche.
Description : « D’azur à trois coquerelles d’argent, tigées et feuillées de même« .
Auteur : Sébastien Avy , 31 octobre 2005.






16 : http://www.blason-armoiries.org/heraldique/tables-heraldiques/figures-naturelles/vegetaux/fruits/coquerelles.htm
DIONIS DU SÉJOUR, originaire du Berry.
Copyright © Au Blason des Armoiries
Description : D’azur, à trois coquerelles d’or ; au chef de gueules, chargé d’une croix potencée du second.
Source : ARMORIAL DE LA VILLE DE PARIS – M. Borel d’Hauterive (1859) :
Noms et blasons des Échevins de la ville de Paris, 1411 – 1789
Dionis – François-Jean, notaire, 1698. – D’azur, à trois coquerelles d’or, au chef cousu de gueules, chargé d’une croix potencée d’or.






17 : http://www.francegenweb.org/heraldique/base/details.php?image_id=27455
CASTAING (Jeanne du), originaire de Gascogne.
Auteur : jacques63 , 14 avril 2015.
Description : d’azur à une branche de coudrier d’or fruité du même, à une bande de gueules, brochant sur le tout.
Commentaires : Duché d’Albret Casteljaloux, Fief de Capchicot en Agenais, Paroisse d’Allons Famille de Lavaissière de Verduzan de Capchicot.
Veuve de Capchicot ou Dame de Capchicot, veuve de Saint-Vincent et veuve en deuxième noce de François la Vaissière de Verduzan.
La Dame de Capchicot portait les armes de son mari François de la Vaissière de Verduzan.
Sources: Armorial général J.B. Rietstap, armorial de l’Agenais, armorial d’Hozier.






18 : http://www.blason-armoiries.org/heraldique/tables-heraldiques/figures-naturelles/vegetaux/arbres/noisetier.htm
LA VAISSIÈRE DE CANTOINET & DE VERDUZAN (de), originaire du Rouergue.
Copyright © Au Blason des Armoiries
Description : D’azur, au coudrier d’or, à la bande de gueules, brochant sur le tout alias d’azur, au coudrier d’or, fretté ou treillissé de gueules.
Source: Armorial général J.B. Rietstap :
La Vaissière (de) de Cantoinet D’azur à un coudrier d’or à la bande de gueules brochant sur le tout.
La Vaissière (de) de Verduzan D’azur à une branche de coudrier d’or fruitée du même à la bande de gueules brochant sur le tout Cri AURILLAC-MONTAC Devise VIS ET VIRTUS.





19 : http://www.francegenweb.org/heraldique/base/details.php?image_id=28151
& http://www.francegenweb.org/heraldique/base/details.php?image_id=28152
LA CODRE DE MONTPANSIN (de), originaire de La Marche, puis Bourbonnais.
Auteur : Jeannot29 , 27 août 2015.
Description version 1 : Coupé au 1 d’azur, à cinq coquerelles d’argent, posées 2 et 3 en deux pals, au 2 d’argent chargé d’une branche de coudrier de sinople.
Description version 2 : D’azur, à trois coquerelles (noisettes) d’argent, l’une sur l’autre en pal à dextre, senestrées de deux demi fleurs de lys, l’une sur l’autre, défaillantes à senestre du même, à la champagne aussi d’argent, chargée d’une branche de coudrier de sinople, posée en fasce.
Source: Armorial général J.B. Rietstap (version 2) :
La Codre (de) de Montpansin D’azur à trois coquerelles d’argent rangées en pal posées à dextre et deux fleurs-de-lis défaillantes à senestre d’argent l’une sur l’autre posées à senestre à une champagne d’argent ch d’une branche de coudrier de sinople posée en fasce le pied à dextre Supports deux aigles au naturel.
Pour la version 1 : Annuaire de la noblesse de France 1863.






20 : http://www.francegenweb.org/heraldique/base/details.php?image_id=4094
Famille LESZCZYNSKI.
Auteur : Sébastien Avy , 6 février 2006.
Description : « D’or, à un chevron cannelé de Gueules, accompagné de trois
coquerelles de Sinople« .
Commentaire : Ce sont les armes de la branche française de la famille Leszczynski de Strzelno, implantée en Languedoc et Midi- Pyrénées depuis 1939.






21 : http://www.francegenweb.org/heraldique/base/details.php?image_id=14460
Famille ROUSSELOT (de Chevry), Paris, Seine-et-Marne.
Auteur : Amaury de la Pinsonnais , 4 février 2009.
Description : D’argent au chevron d’azur accompagné de trois coquerelles de sinople.
Source : Dictionnaire universel de la noblesse de France.






22 : http://www.blason-armoiries.org/heraldique/c/coquerelles.htm
NOISET DE BARRA, Artois.
Copyright © Au Blason des Armoiries
Description : D’argent, à la croix de gueules chargée d’une épée du champ, cantonnée de quatre coquerelles de sinople ; au chef d’azur, chargé d’un soleil d’or.
Source : Armorial général J.B. Rietstap :
Noiset de Barra D’argent à la croix de gueules ch d’une épée d’argent garnie d’or et cantonnée de quatre coquerelles de sinople au chef d’azur ch d’un soleil d’or.





HUAULT DE MONTMAGNY, de Bernay, en Touraine : d’or, à la fasce d’azur, chargée de trois molettes d‘éperon du champ, et accompagnée de trois coquerelles de gueules.
DE LA BORDE, en Angoumois : d’argent, à la rose de gueules, cantonnée de quatre coquerelles de sinople.
D’après le Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France
Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842) — Paris, 1816.






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« Petite noix je suis, grande liqueur je fais »

26 mars 2018 13h06
