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Voyez cette bête ailée et majestueuse
Moitié-aigle, moitié-lion ailé
À la recherche d’une proie à manger.
Le grand Griffon possède des griffes tueuses.
Quand il repère un cheval mangeant du foin,
Toujours, le Griffon sort son puissant bec de sabre,
Mais la proie convoitée s’échappe dans les arbres,
Alors il repart seul et déçu dans son coin.
Désespéré, il regarde son pur cristal,
L’objet qui peut le rendre beaucoup moins pâle,
Il le regarde droit pendant de longues heures.
Ainsi s’achève l’histoire du Griffon,
Un animal mythique et infiniment bon
Mais qui inspire autant la joie que la peur.
Ernest
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De sinople au griffon d’or passant contourné, à la tête d’argent, langué de gueules, tenant à senestre une boule du même, la fasce en chef de pourpre, à dextre un sabre d’argent aussi posé en barre, à senestre un drapeau d’or aussi contourné posé en bande.

Il est manifique ce poeme sincerement
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