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Le dauphin, d’une grande beauté, saute en l’air
Dans la mer bleue comme les fleuves et les rivières.
Intelligent, il nage, danse et virevolte,
Tout en s’amusant mais sans être désinvolte.
C’est sûr, il est le prince du monde marin,
Si bon et joyeux que personne ne le craint,
Sauf peut-être les bancs de petites sardines
Qui finissent dans son estomac lorsqu’il dîne.
Le dauphin a pourtant un cruel ennemi:
L’homme, qui pourrait pourtant être son ami
Mais qui en de multiples occasions l’opprime.
Oui, s’attaquer à un dauphin est un crime,
Quand on abuse de leur amitié c’est triste
Et je voudrais qu’on bannisse tous ces touristes.
Mathis
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D’or au dauphin hauriant d’azur à la queue contournée, allumé d’argent

2 réflexions sur « Le sonnet de Mathis: Mon frère, le dauphin. »