Le sonnet de Maélys.

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Crépuscule, le soleil s’endort, c’est la nuit.
Il fait froid, sombre, il y a beaucoup de bruit.
S’éveillant, les ténèbres crient dans la forêt,
La mort de la lumière qui nous éclairait.

Le ciel s’emplit de nuages et de brouillard,
La lune n’est qu’un point couvert d’un étendard,
Dans le ciel noir, la pluie tombe sur la campagne.
Quand la lune passe derrière la montagne,

Le paradis s’éveille. Sans faire aucun bruit,
Montent les morts au ciel qui s’emplit de lumières.
En plaine, les oiseaux chantent, le jour revit.

On voit les nuages partir très loin dans l’ombre.
Le soleil, revenant, chasse les enfers sombres
Sous terre achevant l’histoire des ténèbres.

Maélys

_____

Tiercé en pairle le 1 d’or à la fleur de lys d’azur, le 2 d’argent au Cerbère de sable passant, le 3 de sinople à la clef d’or aussi posée en pal.

2 réflexions sur « Le sonnet de Maélys. »

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Hortus Closus

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Parhal, poète....

Poésie musicale, rythmée, parlée ou chantée de sa voix vibrante sur la note de l'Univers.

Comme un cheveu sur la soupe

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