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Ce vieil arbre occupe un arpent
Où jamais ne vint nul serpent,
Pas plus que les gens du jardin ;
Mais parfois ce dieu paillard : Pan.*
Il le traite de chenapan,
Car le vieil arbre sait que Pan,
Tout pimpant, est bien trop mondain
Pour lui, ça sent le guet-apens.
Pierrette
