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Le dolmen capte la lumière ;
Le druide, avec sa serpe d’or,
Découpe un rameau de bois mort
À moitié recouvert de lierre.
Le barde boit un peu de bière,
Il chante aussi, mais pas trop fort ;
Et le dolmen emplit son corps
De chaude énergie printanière.
Vers le soir, il se rafraîchit,
Surtout quand la lune surgit ;
Un démon par là s’aventure.
Vers les étoiles s’élevant,
Un menhir, dressé dans le vent,
Domine la verte nature.
