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L’atmosphère pas très épaisse
Abrite de nobles espèces ;
Les habitants les plus heureux
Sont les lions-taureaux, quand ils paissent.*
Ils se reposent sous les pesses,
Dans leur enclos fait tout en speiss,
Ce métal les rend amoureux,
C’est ce qui trouble la papesse.
Pierrette

Une réflexion sur « En réponse à « Planète Malacandra » »