
Vers le sommet des monts, quelqu’un parfois soupire
Et ce soupir descend jusqu’au creux du vallon ;
C’est peut-être la voix d’un faune, ou d’un satyre
Galopant dans la nuit sans même un pantalon.
Peut-être le dieu Pan, devenu solitaire,
Regrette le vieux temps qu’il évoque à grand bruit ;
Nous ne trouverons point la clé d’un tel mystère,
Elle est tombée très loin, tout là-bas, dans la nuit !
