
Je regarde mes mains vides
Et quelques papiers froissés :
Que m’a servi de penser
À du trouble, à du limpide ?
Mes mains, prenez du repos,
Reste bien calme, ô ma tête,
Ce n’est plus le temps des fêtes ;
Faudra quitter le troupeau.
Ô mes mains, prenez patience,
Faudra veiller dans le froid ;
Faudra supporter le poids
De cette accablante science.

Un poème infiniment touchant.
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