
Image du blog Herald Dick Magazine
Sur son cheval d’argent, le descendant d’Orphée
Joue du bel instrument que lui donna la fée ;
Dans le ciel de sinople, un canard fend les airs,
Et dans le ciel d’azur, un poisson dit des vers.
Offre-nous, cavalier, ta musique incertaine ;
C’est un charme puissant pour les bêtes lointaines,
Secret que le progrès n’a pas enseveli,
Refrain que tu as su préserver de l’oubli.
