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Trop de notions qui se bousculent
Dans ma cervelle minuscule,
Ce foisonnement de pensées
Vers un pur délire bascule.*
C’est tous les jours au crépuscule
Que les nerfs se désarticulent
Dans ma tête, je dis : « Assez! »
Mais je sais que c’est ridicule.
Pierrette

Une réflexion sur « En réponse à « Oiseau qui pense trop » »