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Dans mon jardin je trouve un zèbre
Vêtu, pour moitié, de ténèbres
Et pour moitié d’un blanc très pur ;
Ces quelques lignes le célèbrent.*
En lui jamais rien de funèbre
Car chacune de ses vertèbres,
À chaque mouvement, épure
Un peu plus ce qui enténèbre.
Pierrette




