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C’est le chien de Jean de Nivelle
Que saisit une ardeur nouvelle
Quand les jours redeviennent longs ;
Car il n’a guère de cervelle.*
Il est né loin, à Tautavel
Où volaient tant de bartavelles
Qu’il désirait les suivre au long
D’un grand voyage sans vervelles.
Pierrette
