
L’Ascension de Giovanni Bernardino Azzolino (1572—1645))
Pour la paix de l’esprit, et, à plus forte raison, pour la méditation, il n’y a rien de tel que d’être oublié. C’est la meilleure condition, si on veut se retrouver. Plus personne entre soi et ce qui compte : on est de plain-pied avec l’essentiel. Plus les autres se détournent de nous, plus ils travaillent à notre perfection : ils nous sauvent en nous abandonnant.
Cioran

Une réflexion sur « Le sauveur »