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Cornegidouille au coeur qui jamais ne dévie,
Tu ne crains point les trolls ni les démons malins ;
Or, tout autour de toi, ce monde est en déclin,
Pourtant nous t’admirons, heureux de ta survie.
En écoutant ton chant, la licorne est ravie,
À chanter avec toi son esprit est enclin ;
Je vois étinceler son regard opalin,
Par ces magiques airs son âme est assouvie.
Tu montes chaque soir jusqu’au clair firmament,
Lorsqu’ils te voient venir, les anges te bénissent ;
Les habitants du ciel t’offrent un sacrifice.
Nous aurions pu sur toi composer un roman,
Mais nous ne savons pas si tu aimes la prose ;
Accepte donc ces vers, qui sont bien peu de chose.
Cochonfucius