
De ton ivresse je fus ivre,
De tes rêves cauchemardé ;
Si je me plonge dans tes livres,
Au miroir je crois regarder.
Robert, maître des hommes libres,
Seigneur des bagnards évadés,
Nous te devons notre équilibre,
Et ce don de baguenauder !
Tu n’as point gagné de fortune
En ce monde où tu galérais ;
Tel n’étaient pas tes intérêts.
C’est notre richesse commune,
Et c’est notre commun trésor :
Deux ou trois mots qui sonnent fort.


Une réflexion sur « Mon maître Robert »