
Peinture chinoise
Pour contempler les eaux,
Assis près d’un îlot je renvoie mon bateau.
Tout calmes, les canards, sur la rive, endormis ;
Pas une branche laide au vieil arbre fleuri.
Les roseaux sont très courts, et comme égalisés,
Pierre et sable si purs qu’on les croit tamisés.
Le désir persistait malgré le temps trop court,
Mais je songe au retour.
