
image de l’auteur
L’univers onirique, autre réalité,
Associe le délire avec la remembrance ;
Tu y rencontreras d’étranges apparences,
Ainsi que les lueurs d’une sacralité.
Notre monde banal y peut être imité,
Puis sublimé soudain dans une ardente transe ;
L’inattendu survient, sans craindre les outrances,
Au labyrinthe flou qui semble illimité.
Accueille-moi souvent, monde surnaturel
Abrite-moi des maux, refuge intemporel ;
Qu’importe si ces joies ne sont que transitoires !
Muse, des cauchemars n’aie nulle crainte, car
Ce n’est que ton esprit qui vide ses placards ;
Cela peut engendrer d’amusantes histoires.

votre site est de tous les regards vous m’initiez en musique j’aime à vous lire vous êtes un barde
J’aimeAimé par 4 personnes
C’est bon, de temps en temps, de se faire caresser dans le sens du poil, n’est-ce pas Cochonfucius?
J’aimeAimé par 4 personnes