
Toile de Giulio Rosati
Verlaine voit un décor
D’argent, de nacre et d’opale ;
De verres pleins à ras bord,
Aussi d’odalisques pâles,
De chansons et de musique,
Même, de métaphysique.
Son désir se fait ardent,
Au réel plus ne se plie ;
Et le voici gambadant
Au gré d’une vraie folie.
Pourquoi serait-il prudent ?
Cette muse est trop jolie.
