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Que le tonnerre gronde et que la foudre tombe,
Nous ne le craindrons plus, l’inventeur en répond ;
Un magique appareil, installé sur le pont,
Capte les électrons qui surgissent en trombes.
Le ciel est menaçant, les cumulus le plombent,
Un sombre vent rugit, mais nous nous en moquons ;
Notre ami le savant, de son esprit fécond,
Pourrait nous protéger, même contre une bombe.
Neptune ne prend pas cela pour un affront,
Il nous lance un message, et nous le déchiffrons,
Il dit que Benjamin ne peut lui faire d’ombre.
Lorsque le ciel s’apaise et redevient d’azur,
Ben délaisse un moment les courbes et les nombres,
Il récite un poème, et sourit dans l’air pur.
Cochonfucius