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Je veux demeurer sans rien faire,
Car le travail est mortifère ;
C’est cet art de l’oisiveté
Qui mon prestige me confère.*
Dans la forêt de conifères
Je me réfugie pour parfaire
Mes journées sans activités,
Loin de ceux qui vocifèrent.
Pierrette

Henri avait bien raison: « Le travail c’est la santé, rien faire c’est la conserver ».
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Absolument
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