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La bise souffle, elle est trop forte,
Car ce sont vents qui murs emportent ;
J’ose espérer, malgré cela,
Que ma garnison n’est pas morte.*
Toujours elle me réconforte,
En échange, moi, je l’escorte
Mais lorsque l’étoile fut là
Le calme revint à ma porte.
Pierrette



