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Je me tais, je rêve et je pense,
Je médite sur l’infini ;
Le soir, quand le ciel se ternit,
Je contemple l’impermanence.
Ma sagesse est loin d’être immense,
Mais avec l’âge, elle grandit ;
Des mots qu’autrefois j’entendis
Viennent traverser mes silences.
Je progresse sans me presser,
J’évite ainsi de me stresser ;
Je vis ma vie en pente douce.
Même s’il est question d’amour,
Cela se fait pouce par pouce ;
Nulle hâte au long du parcours.
