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Un jour je te vis dans le vent, toute froissée,
Tu atterris dans une rivière, fanée,
Avec autant de grâce qu’une jolie plume,
Seule dans un grand lac avec beaucoup d’écumes.
Tu paraissais émerveillée par ton voyage,
Avec ma gentillesse je te fis hommage,
Un mouvement de pétale m’a remerciée
Puis d’un mouvement de bras je te saluai.
Le jour suivant tu m’attendis devant ma porte,
Je t’ouvris mais je voulus aussi que tu sortes,
Tu pleuras et je culpabilisai un peu,
Je te demandai pardon, à toi et à Dieu,
Tu me pardonnas et puis tu entras chez moi
Tu avais faim donc je t’ai donné des p’tits pois.
Célestine
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Tiercé en bande d’or et de sinople, le 2 chargé d’un rose d’argent.




