Catégorie : Sonnets héraldiques 2018, 5e2, Sainte Elisabeth.

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Ô licorne d’azur dressée et majestueuse,
Emblème des seigneurs valeureux et si nobles,
Symbole des chevaliers à l’âme vertueuse.
Toi qui combats les serpents au venin ignoble

Avec ta noblesse d’esprit. Quand tu les combats
Tu nous protèges chaque jour des choses impures,
Tu nous rappelles les chevaliers d’ici ou là.
Tu es un modèle qui sans cesse perdure.

Très joli oiseau tout de gueules revêtu,
Rossignol, tu nous charmes de ton chant plaisant.
Rose, symbole de l’amour au ton flamboyant,

Ta couleur sang représente la passion ardente.
Ô mer tranquille aux grandes vagues violentes
Parfois. Mais de tout temps, on  clame tes vertus.

Clémentine

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Écartelé, le 1 et le 4 d’or, le 2 et le 3 d’argent, l’un à l’oiseau contourné de gueules sur une branche à trois feuilles du même, l’autre à la rose héraldique de gueules aussi boutonnée d’or,   une onde mouvant de la pointe surmontée d’une licorne cabrée contournée le tout d’azur.

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Sur le mont Palatin, vole un aigle doté
D’une impitoyable férocité cachée,
Contre les rivaux, sans pitié, aux alentours,
Qui viennent cueillir tous nos biens pour leur cour.

Quand l’étoile se couche, il survole la ville,
En surveillant les personnes dans les bidonvilles,
Qui consomment l’eau des rivières sans scrupules,
En regardant pleurer les bandits en cellules.

Quand les ennemis  vinrent, l’aigle sans bonté,
Les a, un à un, battus sans condescendance,
Enfin, les a punis pour leur absurdité.

Sur le mont Palatin, vole un aigle doté,
Contre les rivaux, sans pitié, aux alentours,
D’une impitoyable férocité cachée.

Cyril

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De sinople à l’aigle éployée accompagnée d’une lune figurée à dextre et d’un croissant figuré aussi à senestre, le tout d’or.

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Un grand château, éloigné de tout village,
Hébergeait un chevalier, le plus audacieux.
Il était discret,  aimait faire des voyages…
Le chevalier sortait souvent, très courageux.

Il sortait souvent pour surmonter le trépas.
Un jour, sur son chemin il vit un grand combat:
C’était deux serpents attaqués par un dragon,
Il aida les serpents et tua le dragon.

Après ce grand combat, les serpents le suivirent
Le chevalier se rendit à un grand  manoir,
Il franchit la porte. Tout le monde pour le voir

S’approchait. La belle princesse du manoir
Lui offrit une couronne d’or et d’ivoire,
Il fut le prince aux deux serpents vifs et costauds.

Léa

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Tiercé en pairle, le 1 de sinople à la couronne de Marquis, le 2 et le 3 d’or aux deux serpents adossés, de l’un à l’autre.

 

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Deux grands animaux sont à se battre en duel:
Une Licorne d’or représente noblesse,
Un Serpent de sable représente tristesse.
Une guerre interminable et habituelle.

La Licorne est la proie et se bat pour vivre
Et cette vie, elle la vit avec la peur.
Le Serpent a le métier d’être prédateur,
Le serpent tue au venin, sans pitié, pour vivre.

Le grand Serpent a les yeux plus gros que le ventre.
La licorne aime la nature et ne tue pas.
Le gros serpent se croit le plus grand et au centre.

La Licorne est la proie mais elle se défend.
Le serpent est fin prédateur et il pourfend.
Or ils se battent pour la couronne de roi.

Fady

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Coupé mi-parti en chef, le 1 de gueules à la tête de licorne d’or coupée et contournée, le 2 d’argent au serpent de sable issant du flanc senestre, allumé d’or aussi, langué de gueules aussi, le 3 d’azur à la couronne d’or aussi.

 

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Dans la forêt de Brocéliande boisée,
Un maigre Hérisson tout piquant se balade.
Le serpent avec ses gros yeux l’a repéré,
L’animal sent le danger, plus de promenade.

Le serpent approche, sort sa langue fourchue,
Le hérisson, mis en danger, sort ses piquants,
L’adversaire siffle, rampe, n’hésite plus.
Le combat est sans appel, pour le seul gagnant!

Le hérisson malin use de ses atouts,
Il pique la langue de son grand ennemi.
Ce dernier recule vite derrière un houx.

La rose d’un rouge éclatant a vu la lutte,
Blessée par la défaite de son favori,
Elle s’étiole lentement jusqu’à sa chute.

Maxence

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Tiercé en pairle, le 1 d’argent à la rose de gueules, le 2 d’or, le 3 de sable, à la vipère et au hérisson en défense de l’un à l’autre, affrontés.

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On voit le soleil rouge prêt à partir.
La lune et les étoiles montent parmi nous.
La lune commence à luire et à nous éblouir.
D’un battement d’aile, le hibou sort d’un coup.

Au coeur de la forêt, les animaux s’endorment.
On entend le bruit du ruisseau phosphorescent,
Celui des grenouilles et des loups dans le vent.
Ce soir les animaux nocturnes sont en forme,

Les lucioles éclairent les chemins de forêt.
Le hululement des chouettes résonne
Mais il faut rentrer car le soleil apparaît.

L’aube arrive avec sa rosée matinale.
Les bêtes diurnes commencent à se réveiller
Toute la forêt s’éveille, c’est le final.

Albane

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Coupé mi-parti en chef, le 1 de sinople au croissant versé, le 2  de sable à l’étoile le tout d’argent, le 3 du même à la chouette de sinople aussi, vue de profil, éployée.

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C’était un chevalier prénommé Olivier,
Le troisième d’une famille bretonne.
Tandis qu’il chevauchait par un beau jour d’automne,
Il vit sortir du bois un autre chevalier.

Olivier l’interpelle et propose une joute.
On ajuste les lances et le choc est terrible:
Chacun des deux jouteurs frappe en plein dans la cible,
Olivier tombe à terre, assommé, en déroute.

L’autre chevalier veut alors achever
Celui que dans le duel, il croit avoir tué.
Mais Olivier pareil au vif scorpion,

Tire son épée qui porte le coup fatal.
Le sursaut d’Olivier devint proverbial:
Épée, sang, sable…de là vient le blason.

Baptiste

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De gueules au scorpion d’or

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Voyez cette bête ailée et majestueuse
Moitié-aigle, moitié-lion ailé
À la recherche d’une proie à manger.
Le grand Griffon possède des griffes tueuses.

Quand il repère un cheval mangeant du foin,
Toujours, le Griffon sort son puissant bec de sabre,
Mais la proie convoitée s’échappe dans les arbres,
Alors il repart seul et déçu dans son coin.

Désespéré, il regarde son pur cristal,
L’objet qui peut le rendre beaucoup moins pâle,
Il le regarde droit pendant de longues heures.

Ainsi s’achève l’histoire du Griffon,
Un animal mythique et infiniment bon
Mais qui inspire autant la joie que la peur.

Ernest

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De sinople au griffon d’or passant contourné, à la tête d’argent, langué de gueules, tenant à senestre une boule du même, la fasce en chef de pourpre, à dextre un sabre d’argent aussi posé en barre, à senestre un drapeau d’or aussi contourné posé en bande.

Le sonnet de Raphaëlle
Le sonnet de Paola: Belle Nature
Le sonnet de Baptiste: Le sursaut.
Le sonnet d’Ernest
le sonnet d’Albane
Le sonnet de Maxence: Le combat.
Le sonnet de Fady: La couronne d’or.
Le sonnet de Léa: Le prince aux deux serpents et à la couronne.
Le sonnet de Cyril: L’aigle.
Le sonnet de Clémentine.
Le sonnet d’Elisa: La forêt fantastique.
Le sonnet de Jade: Le royaume impérial.
Le sonnet d’Emily: Le loup et le chat.
Le sonnet de Mathis: Mon frère, le dauphin.
Le sonnet de Maxime.
Le sonnet de Aël: la fin du phénix.
Le sonnet de Stéphane.
Le sonnet de Mélanie.

Le sonnet de Kenzo.

Le sonnet de Faustine.

Rétroactivité 1

 

 

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Créatrice du monde et de tout l’univers,
La Nature embellit notre planète Terre.
Composée de tous ses précieux êtres vivants,
Elle en possède un, aux bois impressionnants

Et grandioses, vêtu d’une robe brune.
C’est le cerf, au regard profond et si intense
Qu’il est le glorieux roi des forêts qui dansent.
Toutes les espèces du lieu l’honorent. Aucune

Ne l’évite. Là on voit un horizon sans
Fin: infinie puissance  logiquement
Créée par Nature et  la forme de la Terre.

Seuls les végétaux et animaux ont leur place
Dans l’univers de la belle planète bleue.
Belle Nature reviens reprendre ta place!

Paola

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D’argent à quatre girons de gueules et de sinople mouvant des flancs dextre et senestre, un rencontre de cerf d’azur ramé de sable en chef,  deux branches de feuilles, en pointe, sommées d’une couronne d’azur aussi.