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Voici l’ambicaprin, qui drague patiemment,
Atteignant chaque jour l’inaccessible cime,
Poussant sa favorite en ses retranchements,
Devenant un héros pour gagner son estime.
Jamais l’ambicaprin n’agit sournoisement,
S’il est des exceptions, elles sont rarissimes
Et ne se disent point. C’est un si fol amant,
Un vainqueur si charmant, un roi si magnanime !
S’il surgit, au grand jour, la biquette s’exclame :
« C’est toi ! je t’ai cherché, facétieux Arlequin,
Et je te trouve ici ! Allons ! Quel grand coquin !»
Il a noté déjà cent noms sur son programme ;
A-t-il assez de jours, a-t-il assez de nuits ?
Et sera-t-il un jour un séducteur séduit ?

Voici, voilà un « ambicaprin » qui a bien de l’humour et un talent certain dans l’art de la séduction.
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Moi j’aime bien les ambi
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Pour galoper sur les cimes ça doit pas être confortable 🙂
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Si, si, très confortable, par un mouvement de rotation alternatif les ambis gardent bien leur direction.
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