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Planant sur mon jardin de son vol de vainqueur,
Il se montre serein dans le jour qui s’allonge ;
La Nuit ouvre ses bras, bientôt, pour qu’il y plonge
Et mêle au bruit du vent celui de son vieux coeur.
Cet oiseau n’entend pas le rossignol moqueur,
Ni ne voit le goupil aux habits de mensonge ;
Et dans l’obscurité de l’espace et du songe,
Volent ses souvenirs, et se taisent en choeur.
Si j’évoque ce roi qui dans l’air se balance,
C’est qu’il danse pour moi la valse du silence
Sur ses ailes d’azur qui ne font pas de bruit ;
Aussi, me regardant de sa pupille brune,
Il chante par hasard, et tout autour, la nuit
Lance, pour lui répondre, un rire de la lune.

Cochonfucius à Ste Élisabeth en 2016-2017 ? Je le croyais un peu plus âgé !
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Oh là là, merci jrtroll.
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