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C’est l’ambicoq d’azur, sa prose est enivrante,
La fine poule blanche en tire volupté ;
Il a bon caractère et robuste santé,
Puis il sait raconter des histoires marrantes.
Ce monde est, semble-t-il, conforme à ses attentes ;
Il a de la prestance et de l’autorité,
Le poulailler lui laisse un peu de liberté,
La faisane, elle-même, est assez peu distante.
Il mange du maïs, il mange quelques vers,
Il ne se force pas pour les légumes verts,
Il use de son charme auprès des nobles dames ;
Il apprend des sonnets, mais plutôt rarement,
Avant de s’endormir, il les dit, doucement,
Ainsi qu’un musicien qui révise ses gammes.

Il est sanguin cet ambicoq!
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Il a le sang qui lui monte à la crête.
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Et tout autour de son ambicorps et dans les pattes aussi.
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Vous avez oublié les amygdales.
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Ce ne sont pas ses amygdales ce sont ses barbillons.
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Bien sur que ce ne sont pas ses amygdales, vous avez déjà vu un être vivant avec ses amygdales dehors, vous? Faut rigoler, là!
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Ah! mais votre commentaire était l’occasion de faire une description rigoureuse du fameux ambicoq. On ne peut pas toujours rigoler, parfois il faut être sérieux.
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Moi, je trouve qu’il a la forme d’un cœur sur deux pattes.
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