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Vers ce palais de pierre, ancestrale demeure,
Sont tracés des sentiers que personne ne suit ;
Tout autour, le grand parc, le potager, le puits
Sont de spectres peuplés, et de rêves qui meurent.
Ces lieux, qui ont connu des époques meilleures,
Ont encore des fleurs, des feuilles et des fruits ;
Personne n’a besoin, d’ailleurs, de ces produits,
Personne en ce jardin ne voit passer les heures.
Un grand donjon se dresse ainsi qu’un noir beffroi,
Les murs ont reflété de nobles destinées ;
Mais à l’heure où j’écris, ils dorment dans le froid.
Où est l’archiduchesse au parfum de jasmin ?
L’archiduc la regrette à longueur de journée,
Les derniers serviteurs s’en vont par les chemins.

C’est triste.
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Ah mais Luciole! l’archiduc c’est pas un rigolo.
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Est-il poète ? Je le pense s’il est troublé par la senteur du jasmin de sa belle, il est alors à moitié pardonné.
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En attendant c’est le correcteur qu’il faut pardonner. 😦
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Tout à fait.
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