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Accoudé au comptoir, le « quinqua » boit, pensif,
Il rêve de partir sur une île bretonne,
Loin de son existence en tous points monotone ;
« Métro, boulot, dodo », il se sent si poussif !
Il tapote le zinc, un geste compulsif,
Réalisant qu’il est, de sa vie, à l’automne,
D’y penser, seulement, cela un peu l’étonne,
Pour prendre du recul, mieux vaut rester oisif.
Soudain, un pèlerin, devant son regard triste,
L’entraîne à emprunter, que lui, la même piste,
Une fois en chemin, ils discutent à loisir.
L’échange le convainc de fuir le périssable,
Qu’un vent nous portera comme des grains de sable,
Que de trouver l’amour, c’est être en son désir.

Révélation
Accoudé au comptoir, le « quinqua » boit, pensif,
Il rêve de partir sur une île bretonne,
Loin de son existence en tous points monotone ;
« Métro, boulot, dodo », il se sent si poussif !
Il tapote le zinc, un geste compulsif,
Réalisant qu’il est, de sa vie, à l’automne,
D’y penser, seulement, cela un peu l’étonne,
Pour prendre du recul, mieux vaut rester oisif.
Soudain, un pèlerin, devant son regard triste,
L’entraîne à emprunté, que lui, la même piste,
Une fois en chemin, ils discutent à loisir.
L’échange le convainc de fuir le périssable,
Qu’un vent nous portera comme des grains de sable,
Que de trouver l’amour, c’est être en son désir.
Pierrette, Peux-tu attendre que j’ai publié sur mon blog avant de le faire sur le tiens ? La plupart du temps, entre le moment où je le met en commentaire sur Pays de Poésie et le moment ou je choisi de le mettre sur Comme un cheveu sur la soupe, je le modifie. Bonne soirée
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D’accord
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