
Jules Laforgue s’aventure
En des dissonances majeures ;
Au long du chant, ça devient pire,
On ne sait ce qu’on en peut faire.
Les rimes étranges qui courent
Au long du texte sont barbares ;
Le barde, en contant cette histoire,
Une absurde harmonie instaure.
Laforgue, rimeur débonnaire,
Tu parviens à me faire rire ;
Car je sais que ton âme est pure
Et pourtant jamais ne s’apeure.
Je t’imagine, à la guitare,
Accompagnant tes mots sonores
D’accords qui sobrement concourent
Au chant que la Muse t’inspire.
