
image de Pierrette
De l’isolement, j’assume les fables ;
Je parle aux objets, à Nounours aussi
– Ce psy me prescrit des messes en si – ;
J’écris ce sonnet, les pieds sur la table.
Un coin du salon s’est rempli de sable,
La guirlande offre un décor adouci,
Le hamac chante un rêve réussi,
Ne manque que la licorne gonflable.
C’est le temps béni des télétravaux,
Même si ça prend bien trop le cerveau,
Le corps se plaît à rester invisible.
Et dans ce désert, un petit éclair,
Dit « Il faut tenir », en remuant l’air ;
Alors je souris à l’imprévisible.

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Effectivement, le chat de Cheshire n’est jamais loin, laissant flotter son sourire. 🙂
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« Le corps se plaît à rester invisible.
(…) un petit éclair,
Dit « Il faut tenir », en remuant l’air ;
(…) je souris à l’imprévisible. »
Ces vers m’ont conduite vers le chat du Cheshire
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Ha j’adore, il était bien caché. 😊
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