
Héraldie est un coffre-fort. Les chevaliers
Cochonfucius, Pierrette et Ada le gardent.
Nous, les Héraldiens, nous en avons la clef.
Précisément le 14 juin, sans embarde,
Nous fêterons JRtroll, autoproclamé
Notre Saint Patron, lui qui tel un grand barde
Honore notre travail. Il s’est allumé
En nous le désir de découvrir la bavarde
Héraldie, dire que ses sonnets-blasons sont
Bons serait un euphémisme car La Fontaine,
Rimbaud et bien d’autres, d’une façon certaine
En seraient impressionnés plus qu’on ne le croit.
Cette terre nous a apporté de surcroît
Un don précieux: avec elle nous grandissons.
Les élèves de 5e3

J’aime bien votre histoire de blason de coffre-fort de chevaliers de saint patron autoproclamé de la noblesse poétique ou de sang héraldique moi j’ai créé l’entreprise ferme, l’homme créëole du monde quantique, l’hommothéisme la joi histoire de rudolphe s plesdin autoproclamé principat des triumvirs
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Je suis passée faire un tour chez vous, L’entreprise ferme est assez déroutante. A bientôt monsieur le Principat des Triumvirs, merci pour l’intérêt que vous portez à l’Héraldie.
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Merci pour votre visite je ne suis pas principat dans la vie, c’est une histoire que je regarde comme un tableau, une civilisation que je dessine poétiquement un peu comme vous héraldiquement, je suis sérigraphe de profession .Je regarde les bases de l’héraldique l’écu les codes de couleurs l’imprimerie la sémiotique des couleurs
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je regarde à partir de Google les bases de l’héraldique les Armes du pape François
titre d’autres exemples, voici les écus de Charles-Quint (1500-1558), empereur du Saint-Empire Romain Germanique, roi d’Espagne, roi de Naples, de Sicile et de Jérusalem et duc de Bourgogne, et celui du prince italien Vincent 1er de Gonzague (1562-1612), qui était duc de Mantoue, de Montferrat et de Nevers. Sa mère était Éléonore d’Autriche. Son grand-père Ferdinand Ier de Habsbourg était archiduc d’Autriche, roi de Bohème, empereur romain germanique et petit-fils de Ferdinand II d’Aragon. Son blason combine ceux de Gonzague ancien, de l’Empire romain d’Orient, de Jérusalem, d’Aragon, de Montferrat, de Saxe, de Bar (je n’ai pas trouvé pourquoi), de Constantinople et d’Autriche.
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sans oublier la spiritualité des couleurs les codes les alliances etc..
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Je commence à comprendre le travail poétique de cochonfucius,
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C’est un grand pas dans la vie!
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Comme je vous le disais je commence à comprendre héraldie et poésie, c’est un exercice qui ne doit pas être simple je vous étudie et vous remercie pour vos visites sur mon site
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PHENIX
Ce nom que l’on m’a mis dans la tête comme un piège à con
Ce nom que l’on m’a mis autour du cou comme une laisse à un chien
Ce nom qui se rit de ma face comme une farce et attrape
Ce nom qui sonne, comme un non, comme un refus comme une négation,
quand je me présente au rendez vous des peines perdues.
Ce nom auquel je réponds présent comme à une absence de mauvais goût
quand des commissures me décrochent un rictus empoisonné.
Ce nom qui n’est qu’un nom sans écho.
Ce nom que l’on oublie aux détours des choses sérieuses.
Ce nom qui ne dit rien à personne.
Ce nom sans histoire ou de faits divers.
Ce nom qui ne sert que de paillasson à tous les va-nu-pieds.
Ce nom qui n’est que le déclic de ma servitude.
Ce nom à qui l’on donne du monsieur, avec l’air de penser que c’est de la confiture jetée aux cochons.
Ce nom seul comme une famille divisée de prénoms.
Ce nom que j’ai baptisé de sueur, de sang, de larmes et de joie.
Ce nom qui ne veut rien dire sans son matricule.
Ce nom que l’on dit commun, voir singulier.
Je le signe comme une particule, je le porte comme un blason.
Je le hisse comme un étendard.
Je l’annonce comme un nom propre et,
avec pour le meilleur comme pour le pire voir l’empire,
je franchis la ligne
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Bravo
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