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Je vois planer au ciel un monstre solitaire,
Un vigoureux oiseau qui d’un roc s’élança ;
Vers un lointain rivage ensuite il avança,
Quant à son but final, cela reste un mystère.
Les bardes du village un jour l’interrogèrent,
Mais leur sollicitude envers lui l’agaça ;
D’un terrible regard quadruple il les chassa,
D’en tirer quelque chose ils se découragèrent.
Le druide en a conclu, parlant sans hésiter,
Que le rapace avait sa propre vérité ;
Avec de l’hydromel il a béni ses plumes.
Peut-être qu’un amour aveugle le conduit,
Qu’à rester sous sa coupe il se trouve réduit ;
Eros est donc aussi farceur que de coutume.

je n’aime pas l’oiseau de chasse mais d’espace, il en est de même pour Palpatine
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