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L’univers onirique, autre réalité,
Associe le délire avec la remembrance ;
Tu y rencontreras d’étranges apparences,
Ainsi que les lueurs d’une sacralité.
Notre monde banal y peut être imité,
Puis sublimé soudain dans une ardente transe ;
L’inattendu survient, sans craindre les outrances,
Au labyrinthe flou qui semble illimité.
Accueille-moi souvent, monde surnaturel
Abrite-moi des maux, refuge intemporel ;
Qu’importe si ces joies ne sont que transitoires !
Muse, des cauchemars n’aie nulle crainte, car
Ce n’est que ton esprit qui vide ses placards ;
Cela peut engendrer d’amusantes histoires.



